ECOPOL

Depuis 1993, plus de 2’000 personnes ont participé au développement d’une quarantaine de ces ruches créatives temporaires. Depuis 2013, nous avons acquis des terrains durables, en coopérative, et construit déjà deux écohabitats pour la vie, à Grandvaux et Cheiry, pour une soixantaine de personnes. 

Les trois écovillages de la méthode Ecopol

Les dernières news

Visites de caves des vignerons bio du Lavaux

En Lavaux, sur environ 200 vignerons, 7 pionniers montrent que c’est possible de traiter sans roundup ou d’autres produits toxiques, pour produire en bio. Tu peux visiter leur cave et y prendre un carton de 6 bouteilles dès 75.- chf. À découvrir ici

Découvrez nos options de placement

Nous proposons également des placements responsables à 2% par an pour aider au développement de nos écovillages.

Plus d’informations ici.

Jardins dans les Ecopols, un chemin vers la simplicité volontaire

Pendant le confinement du COVID au printemps 2020, on s’est dit qu’un peu plus d’autonomie alimentaire en Suisse serait bien utile. On a imaginé qu’en 2040, on mange essentiellement ce qu’on produit localement, avec au moins la moitié cultivée autour de nos maisons, dans des jardins potagers sans pesticides et autres agrotoxiques. Découvrez ici !

Découvrir Écopol

Découvrir les écovillages : la brochure Écopol

La coopérative Bâtir Groupé est un des partenaires du cluster Ecopol. C’est elle qui écoconstruit les Ecopols avec des matériaux locaux et à prix abordables.

Ecopol soutient la création de micro-entreprises grâce à son partenaire APTES.ch.

Avec des repas conviviaux ouverts au public.

Des formations d’animateurs.

Des jardins en permaculture.

Des voyages en écolieux.

Témoignages et histoires vraies dans nos écovillages 💚

« On découvre une grande diversité. On n’a pas besoin de se formater pour rentrer dans le moule. Merci pour votre accueil. »

– Isabelle et Patrick, visiteurs en immersion un week-end, pour mieux vivre l’expérience de l’intérieur

« C’est l’opportunité pour moi de travailler dans l’administration de projets où je me sens utile, avec des horaires très flexibles. Je peux mieux être présente pour mon enfant. J’ai développé des amitiés avec des personnes magnifiques qui ont la main sur le coeur. Mais d’autres se plaignent trop vite, et manquent de gratitude, et ça me désole. Je suis réservée de nature, je crois que ça m’a aidé à vivre cette aventure avec résilience depuis plus de 12 ans déjà. Avoir comme moi des fonctions dirigeantes dans une structure innovante, ça me donne confiance et courage au quotidien pour assumer mes divers rôles : mère, entrepreneuse sociale, coopératrice… »

– Lucélia (Lou), mère de famille, notre trésorière

« J’ai découvert les écovillages dans un article d’un journal local en 2018. J’ai visité puis placé quelques économies en 2019. Un an après, je me suis installée. Je suis passée d’un 65m2 à un 24m2. Ma vie a bien changé. J’ai trouvé un esprit de famille intergénérationnel, des gens qui partagent mes valeurs. J’ai pris la responsabilité de la production maraîchère, en plus de mon emploi à 80%. C’est intense, surtout au début, préparer la terre, coordonner. Des fois, des gens manquent d’attention et ça m’énerve, mais ça passe vite ! J’apprends beaucoup. On partage de bons moments de la vie en toute simplicité. Je viens de rentrer dans le comité. »

– Valérie, co-habitante de l’écovillage Ecopol Berber, employée de commerce, secrétaire du Comité

« J’ai fait l’armée, des études de journalisme et du sport. En 2009, j’ai découvert Ecopol et son cluster de micro-entreprises qui m’a employé durant toute mes études, en fonction de mes disponibilités (10 % pendant mes cours, 80 % pendant mes vacances), pour tout type de travaux techniques, administratifs et web : c’est le programme « carrière de sens » du partenaire d’Ecopol, www.aptes.ch.

J’ai ainsi travaillé dans diverses maisons gérées par Smala pour les projets de sens qui y sont réalisés : économie solidaire, livres et films pédagogiques… C’est un job d’étudiant bien plus passionnant que de travailler dans un supermarché, cela m’a aidé à diversifier ma vie professionnelle, devenir romancier en plus de journaliste, et co-créer un journal indépendant. »

– Fabien, journaliste, romancier et micro-entrepreneur

Les surprises de la vie. Un jour on remarque que l’accoudoir d’un canapé de la véranda, qui était déchiré, est joliment recousu. On n’a jamais su qui nous a rendu discrètement ce service. Gratitude.

On en parle. A la cafétéria, on a souvent des pâtisseries “fraîches de la veille”, de notre partenaire Aess-Bar. Aess-Bar, ce sont des boutiques qui collectent des pâtisseries fraîches de la veille, qui allaient être brûlées. Elles ont été créées par Xavier, qui habite à l’écovillage. Ça suscite des débats : mieux vaut éviter de s’empiffrer d’aliments industriels, ou réduire le gaspillage et nos dépenses ?

Lucile est partie. Elle va subir une grosse opération, puis travailler à Zurich. Quelle perte pour notre communauté. On s’était attaché à sa gentillesse, ses plats végans style gastro, ses petites attentions, son écoute. Même le jour de son départ, elle a insisté pour faire des sushis végés elle-même.
Sacrée Lucile. Heureusement on garde contact.

Alberto arrive à la cafétéria une guitare à la main. Aujourd’hui ce n’est pas pour cuisiner, mais pour swinguer. Il nous entraîne à chanter: it don’t mean a thing, if it ain’t got that swing, tchubap tchubap… et il se fait un prier un peu avant d’en re-chanter d’autres, cette fois style Blues & Bossa & Jazz.

Françoise et Rodolfo parlent portugais entre eux. Elle est française et a vécu au Brésil. Lui est Suisse originaire de Trey (VD), et a vécu 62 ans entre Argentine, Brésil et Angola. Souvent on parle cinq langues différentes à table. C’est aussi ça, les pôles internationaux d’écologie communautaire

Visiteurs de nos EcopolS

rencontres didactiques CoCo

Membres ayant placé des fonds

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